
Si vous trouviez qu’il manquait des règles de base à Traveller, le compagnon en contient en veux-tu-en-voilà : des systèmes de création alternatifs (c’est dans ce chapitre qu’on a les caracs des Bwap), un approfondissement des notions de contacts alliés ennemis et rivaux, des options de pré-carrière pour remplacer l’université ou l’école militaire (milieu colonial, académie marchande, communauté psy, « l’école des coups durs » et communauté spacienne.
Deux nouvelles carrières : le « truther » (un « détenteur de vérité ») et le « believer » (un « croyant », souvent suivant du truther). Et ça continue encore et encore (c’est que le début, d’accord, d’accord). En faire toute la liste transformerait ce post en un article de fond et ça, c’est pas le genre de la maison : je suis comme Yann Solo de la chaîne « 12 pas secs », un àpeupriste.
Mais j’aimerais souligner la présence de 28 créatures dont certaines proviennent, me semble-t’il (ne me citez pas là dessus, je déclinerai toute responsabilité en cas d’erreur) des JTAS, des conseils à l’Arbitre, comment interpréter les UWP, des infos sur le wiki et travellermap.com, un système de combat spatial vectoriel (à la « The expanse » au lieu du style « Star Wars ») et des règles sur le voyage spatial (sub et supra luminiques).
Comme dirait Cyrano de Bergerac « Ah ! Non ! C’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire… oh ! Dieu ! … bien des choses en somme… » et je suis d’accord, il y aurait bien plus à dire. Mais voila : a) je ne suis pas Edmond Rostand et b) Edmond Rostand ne jouait pas à Traveller (le con !). Mais en gros, le compagnon c’est bon, mangez-en; réjouissances habituelles de recevoir la version francophone de ce bouquin.
Bisoucaresses.
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